Ce samedi 03 février, au cours de la messe animée par Alaïa, Alexandra et Ky-Van, quatre jeunes catéchumènes ont célébré une des étapes les conduisant vers leur baptême qui aura lieu au cours de la veillée pascale.
Au début de la messe ; Julie, Laureen, Marie et Vanessa, entourées par leurs camarades de l’aumônerie, ont reçu (sur les mains, lieu de la force humaine) l’onction d’huile des catéchumènes destinée à leur donner la force du Christ pour vivre le carême et les dernières semaines qui les séparent du baptême.
Au moment de l’oraison dominicale elles ont reçu le texte du Notre Père.
Après la messe, étudiants, jeunes professionnels et catéchumènes se sont réunis pour un échange autour de cette prière apprise par le Christ à la demande de ses disciples.
Comme à l’accoutumée, la soirée a commencé par un jeu. Pour celui du Blind test, il s’agissait de trouver le titre et le nom de l’interprète d’une chanson où était prononcé le mot papa, père …
Pour approfondir la prière dominicale, nous avons commencé par la projection d’un petit sketch « Le Notre Père autrement ». Elle a été suivie par la présentation du contexte et la lecture de l’évangile de St Matthieu 6, 7-13. Les jeunes ont ensuite été répartis en petits groupes pour une réflexion plus personnelle. Elle portait sur les points suivants : essayer de repérer les trois parties distinctes du Notre Père ; quelles sont les différentes demandes adressées à Dieu dans cette prière ; outre le pain symbole des nourritures terrestres, de quoi avons nous besoin pour vivre ; quels sont les maux de notre société que nous devons combattre afin qu’advienne le règne de Dieu ?
Après ce temps d’échange, nous avons partagé les spécialités culinaires apportées par les uns et les autres.
La soirée s’est, comme à l’accoutumée, terminée dans la chapelle. La veillée a débuté par le Notre Père, a continué par le chant à l’Esprit Saint « Gloire à toi, Esprit de feu » et par un autre de louange « Que vienne ton règne ». Dans son topo sur cette prière filiale confiée aux humains par Jésus, le Père Edouard a souligné, que les mots employés nous situaient, non pas comme des consommateurs ni des serviteurs, mais comme des enfants adoptés et aimés par Dieu. Il a été suivi d’un temps de silence avec pour fond musical « Appelés à l’amour infini » poursuivi par une méditation personnelle faite dans le calme absolu. Elle s’est terminée par un cantique adressé à Marie : « Couronnée d’étoiles ».
Georgette
